Soyez heureux

De nombreux bienfaits pour la santé documentés scientifiquement et publiés dans des revues d’examens par les pairs

Aperçu:

Des bienfaits sur la santé physique et mentale ont souvent été constatés dès la première séance. Et les résultats sont cumulatifs : ils augmentent avec le temps..

Il a été démontré que le Sudarshan Kriya et les techniques de respiration qui l’accompagnent, appelés collectivement SKY et enseignés par la Fondation l’Art de Vivre, améliorent les fonctions cérébrales, hormonales, immunitaires et cardiovasculaires. La publication de recherche démontre que SKY diminue considérablement le stress, la dépression, l’anxiété et le TSPT, et augmente le bien-être mental et physique. La recherche a également démontré que les effets des techniques SKY se rendent jusqu’au niveau moléculaire, jusqu’à notre ADN.

Bien-être mental :

Rétablissement et amélioration d’une santé mentale vibrante :

• Soulage l’anxiété^[1-7]et la dépression^{[2, 4, 8-14]} , les symptômes du trouble de stress post-traumatique (TSPP) ^{[3, 12, 13]} et le stress. ^{[4, 6, 14]}
  • Des diminutions importantes de l’anxiété ont été constatées chez de nombreuses populations, dont un taux de réponse de 73% et un taux de rémission de 41% chez les personnes dont les médicaments et la psychothérapie ont échoué^[1].
  • De nombreuses études ont démontré que les patients souffrant de dépression qui ont appris les techniques SKY ont connu un taux de rémission de 67-73% en un mois.
  • Une diminution importante des symptômes du TSPT a été constatée en six semaines et la diminution de 60% était toujours là six mois plus tard sans aucun suivi^[12].
• Diminue l’impulsivité et les dépendances ^{[15, 16]}
• Améliore la stabilité émotionnelle ^{[14, 17]}
• Augmente les niveaux d’optimisme, de bien-être et de qualité de vie ^{[4, 5, 12, 18, 19]}

Amélioration du fonctionnement du cerveau:

• Une meilleure concentration / conscience ^[20]

Amélioration de la qualité du sommeil :

• 3x plus de temps passé dans l’état de sommeil profond ^[21]

Bien-être physique :

Amélioration de l’état biochimique:

• Diminution des marqueurs de stress biochimiques : cortisol ^{[2, 22]}, corticotrophine^[2]  lactate sanguin^[23], corticotrophine^[2] et MDA du plasma^{[2, 24] [25]}
  • Par exemple, les niveaux de lactate dans le sang des aspirants-policiers qui n’avaient pas appris les techniques SKY étaient quatre fois plus élevés que leurs collègues qui ont été choisis au hasard pour les apprendre, ce qui suggère une résilience au stress beaucoup plus grande chez ceux qui pratiquent SKY.
  • Comme les réactions physiologiques stressantes ont une incidence sur la santé immunitaire, cardiovasculaire, endocrinienne et mentale, elles ont de nombreuses conséquences sur le bien-être.
• Une augmentation de 50% de la prolactine, l’hormone du bien-être dès la première séance. ^[26]
• Des niveaux accrus d’enzymes antioxydants (glutathion, catalase et superoxyde dismutase) ^{[6, 23, 27]} qui nous protègent contre de nombreuses maladies et le vieillissement prématuré.

Amélioration de la fonction immunitaire :

• Augmentation des cellules immunitaires chez des personnes apparemment en santé ^{[16, 28]}
  • Certaines constatées en trois semaines (neutrophiles, lymphocytes, nombre de plaquettes)[29]
• Augmentation des cellules immunitaires chez des personnes ayant des ennuis de santé constatés en 12 semaines (cellules tueuses naturelles) ^[16]
• Modifications bénéfiques de notre ADN qui favorisent une meilleure longévité des globules blancs, nos cellules immunitaires. ^[27]

Amélioration de la fonction cardiovasculaire et respiratoire :

• Diminution de la fréquence cardiaque chez les personnes en santé autant que malades ^{[30] [6]}
• Diminution de la pression sanguine chez les personnes en santé autant que malades ^{[6, 25, 30]}
• Amélioration du profil de cholestérol et de triglycéride (lipide) : ^{[24] [6, 28]} en seulement trois semaines sans aucun changement d’alimentation ^[31]
• Amélioration de la fonction respiratoire : ^{[3, 32, 33]} la fréquence respiratoire a diminué de 5% en 1 semaine ^[3] et de 15% en 12 semaines^[32] avec augmentation de la capacité pulmonaire (vitale) ^[33]

Bref, le Sudarshan Kriya comprend certains rythmes respiratoires cycliques qui amènent le mental et le corps à la fois à se détendre et à s’énergiser. Ses effets ont été étudiés dans des essais ouverts et aléatoires chez des populations dont la santé était bonne et déficiente. La recherche semble démontrer que SKY diminue la dépression, l’anxiété, le TSPT et le stress, ainsi que les comportements de dépendance et la toxicomanie. Il augmente considérablement les sentiments de bien-être, d’optimisme et de concentration mentale, et améliore la stabilité émotionnelle. SKY est également associé à une meilleure fonction cardio-respiratoire, antioxydante et immunitaire. Il a même été démontré que la pratique de SKY a une incidence positive sur l’expression des gènes, ce qui laisse entendre que SKY a des effets sur tous les niveaux de la physiologie, de l’ADN dans nos molécules aux systèmes organiques. Lorsqu’on réunit la large gamme de bienfaits documentés, il semble que SKY peut être un outil efficace pour renforcer rapidement le mental et le corps.

Les références

1. Katzman, M.A., et al., A multicomponent yoga-based, breath intervention program as an adjunctive treatment in patients suffering from Generalized Anxiety Disorder with or without comorbidities. International journal of yoga, 2012. 5(1): p. 57.

2. Vedamurthachar, A., et al., Antidepressant efficacy and hormonal effects of Sudarshana Kriya Yoga (SKY) in alcohol dependent individuals. Journal of affective disorders, 2006. 94(1): p. 249-253.

3. Seppälä, E.M., et al., Breathing‐Based Meditation Decreases Posttraumatic Stress Disorder Symptoms in US Military Veterans: A Randomized Controlled Longitudinal Study. Journal of traumatic stress, 2014. 27(4): p. 397-405.

4. Kjellgren, A., et al., Wellness through a comprehensive yogic breathing program - a controlled pilot trial. BMC Complement Altern Med, 2007. 7: p. 43.

5. Sureka, P., et al., Effect of Sudarshan Kriya on male prisoners with non psychotic psychiatric disorders: A randomized control trial. Asian journal of psychiatry, 2014. 12: p. 43-49.

6. Agte, V.V. and S.A. Chiplonkar, Sudarshan Kriya yoga for Improving Antioxidant status and Reducing Anxiety in Adults. Alternative & Complementary Therapies, 2008. 14(2): p. 96-100.

7. Narnolia, P.K., et al., Effect of Sudarshan Kriya Yoga on Cardiovascular Parameters and Comorbid Anxiety in Patients of Hypertension.

8. Janakiramaiah, N., et al., Antidepressant efficacy of Sudarshan Kriya Yoga (SKY) in melancholia: a randomized comparison with electroconvulsive therapy (ECT) and imipramine. Journal of affective disorders, 2000. 57(1): p. 255-259.

9. Janakiramaiah, N., Gangadhar, B.N., Naga Venkatesha Murthy,, S. P.J., T.K., Subbakrishna, D.K., Meti, B.L., Raju, T.R.,, and A. Vedamurthachar, Therapeutic efficacy of Sudarshan
Kriya Yoga (SKY) in dysthymic disorder. NIMHANS J., 1998. 17: p. 21-28.

10. Naga Venkatesha Murthy, P., et al., Normalization of P300 amplitude following treatment in dysthymia. Biological Psychiatry, 1997. 42(8): p. 740-743.

11. Murthy, P.N.V., et al., P300 amplitude and antidepressant response to Sudarshan Kriya Yoga (SKY). Journal of affective disorders, 1998. 50(1): p. 45-48.

12. Descilo, T., et al., Effects of a yoga breath intervention alone and in combination with an exposure therapy for post-traumatic stress disorder and depression in survivors of the 2004 South-East Asia tsunami. Acta Psychiatr Scand, 2010. 121(4): p. 289-300.

13. Martin, A., Multi-component yoga breath program for Vietnam veteran post traumatic stress disorder: randomized controlled trial. Journal of Traumatic Stress Disorders & Treatment, 2013.

14. Kharya, C., et al., Effect of controlled breathing exercises on the psychological status and the cardiac autonomic tone: Sudarshan Kriya and Prana-Yoga. 2014.

15. Ghahremani, D.G., et al., Effects of the Youth Empowerment Seminar on impulsive behavior in adolescents. Journal of Adolescent Health, 2013.

16. Kochupillai, V., et al., Effect of rhythmic breathing (Sudarshan Kriya and Pranayam) on immune functions and tobacco addiction. Annals of the New York Academy of Sciences, 2005. 1056(1): p. 242-252.

17. Gootjes, L., I.H. Franken, and J.W. Van Strien, Cognitive Emotion Regulation in Yogic Meditative Practitioners. Journal of Psychophysiology, 2011. 25(2): p. 87-94.

18. Jyotsna, V.P., et al., Comprehensive yogic breathing program improves quality of life in patients with diabetes. Indian journal of endocrinology and metabolism, 2012. 16(3): p. 423.

19. Warner, A. and K. Hall, Psychological and Spiritual Well-being of Women with Breast Cancer Participating in the Art of Living Program, in Psychology of Cancer, N.L. Hicks and R.E. Warren, Editors. 2012, Nova Science Publishers, Inc.

20. Bhatia, M., et al., Electrophysiologic evaluation of Sudarshan Kriya: an EEG, BAER, P300 study. Indian journal of physiology and pharmacology, 2003. 47(2): p. 157-163.

21. Sulekha, S., et al., Evaluation of sleep architecture in practitioners of Sudarshan Kriya yoga and Vipassana meditation*. Sleep and Biological Rhythms, 2006. 4(3): p. 207-214.

22. Kumar, N., et al., Randomized controlled trial in advance stage breast cancer patients for the effectiveness on stress marker and pain through Sudarshan Kriya and Pranayam. Indian journal of palliative care, 2013. 19(3): p. 180.

23. Sharma, H., et al., Sudarshan Kriya practitioners exhibit better antioxidant status and lower blood lactate levels. Biological Psychology, 2003. 63(3): p. 281-291.

24. Agte, V.V. and K. Tarwadi, Sudarshan Kriya yoga for treating type 2 diabetes: a preliminary study. Alternative & Complementary Therapies, 2004. 10(4): p. 220-222.

25. Agte, V.V., M.U. Jahagirdar, and K.V. Tarwadi, The effects of Sudarshan Kriya Yoga on some physiological and biochemical parameters in mild hypertensive patients. Indian J Physiol Pharmacol, 2011. 55(2): p. 183-187.

26. Janakiramaiah, N., et al., Therapeutic efficacy of Sudarshan Kriya Yoga (SKY) in dysthymic disorder. Nimhans Journal, 1998. 16(1): p. 21-28.

27. Sharma, H., et al., Gene expression profiling in practitioners of Sudarshan Kriya. Journal of psychosomatic research, 2008. 64(2): p. 213-218.

28. Subramanian, S., et al., Role of Sudarshan Kriya and pranayam on lipid profile and blood cell parameters during exam stress: A randomized controlled trial. International journal of yoga, 2012. 5(1): p. 21.

29. Subramanian, S., et al., Role of Sudarshan Kriya and pranayam on lipid profile and blood cell parameters during exam stress: A randomized controlled trial. Int J Yoga, 2012. 5(1): p. 21-7.

30. Somwanshi S. D., H.S.M., Adgaonkar B. D., Kolpe D. V., Effect of Sudarshankriya Yoga on Cardiorespiratory Parameters. International Journal of Recent Trends in Science And Technology, 2013. 8(1).

31. Agte, V.V.T., Kirtan, Sudarshan Kriya Yoga for Treating Type 2 Diabetes: A Preliminary Study. Alternative & Complementary Therapies, 2004. 10(4).

32. Somwanshi, S., et al., Effect of Sudarshankriya Yoga on Cardiorespiratory Parameters. Int J Recent Trends in Science and Technology, 2013. 8(1): p. 62-66.

33. Chavhan, D.B., The Effect Of Sudarshan Kriya and Bhastrika Pranayama on Endurance Capacity in Kho-Kho Players International Multidisciplinary Research Journal, 2103. 6(1).

Sommaire des études de recherche sur le Sudarshan Kriya dans des revues examinées par les pairs

Plus d’une douzaine d’études publiées ont démontré un soulagement important de la dépression chez les personnes qui avaient appris et qui pratiquaient le Sudarshan Kriya et les techniques de respiration qui l’accompagne (SKY). Ces études ont démontré un taux de succès de 67%-73% de soulagement de la dépression, peu importe la gravité de celle-ci [1-6].

Ces résultats sont constatés rapidement, souvent en 3-4 semaines [1, 2, 4, 5, 7, 8]. Contrairement aux traitements conventionnels, la pratique de SKY apporte un soulagement rapide et uniforme de la dépression, peu importe depuis combien de temps elle sévit, ou le degré de « dysfonctionnement » du cerveau (p. ex., anomalies des mouvements d’EEG ou taux d’hormones) [4, 5]. De plus, il a été démontré que le SKY diminue considérablement les « bleus », la mélancolie non clinique que de nombreuses personnes ordinaires expérimentent souvent. [9, 10]

Faits saillants des conclusions de la recherche :

La rémission de la dépression a lieu rapidement.

• Un soulagement important a été constaté en trois semaines. [5, 8]
• En un mois, les personnes [6] étaient considérées comme en rémission. [1, 2, 4-7]
• Après trois mois, les personnes étaient demeurées asymptomatiques et stables, ce qui démontre que les résultats ont persisté et qu’ils ne peuvent être considérés comme un effet placebo. [3-6, 11] (Les effets placebo pour la dépression diminuent après quatre semaines.)

Le SKY produit des effets biologiques très bénéfiques sur les fonctions cérébrales et hormonales.

• Les mouvements d’ondes cérébrales ERP P300 et NREM de l’EEG, qui mesurent l’activité électrique des ondes cérébrales et qui sont anormaux chez de nombreuses personnes en dépression, étaient revenus à la normale après 90 jours. [4, 5]
• Amélioration des taux d’hormones
• La prolactine du plasma, une hormone du bien-être qui serait l’un des principaux facteurs dans le soulagement de la dépression, a augmenté considérablement dès la première séance de SKY. [3]
• Les niveaux de cortisol dans le plasma (hormone du stress) ont diminué considérablement après trois semaines. [2]

Aussi efficace que des antidépresseurs

Selon les statistiques d’une étude comparative, le SKY est aussi efficace que les antidépresseurs conventionnels [1]. Contrairement aux traitements habituels de la dépression, le SKY est naturel et dépourvu d’effets secondaires. Les gens peuvent se l’administrer eux-mêmes ce qui les rend plus autonomes. Il peut diminuer considérablement la charge de travail des médecins et les visites à l’hôpital, ce qui permet de faire des économies d’argent et de personnel [3].

Le président du département de psychiatrie au NIMHANS a déclaré  “Le SKY a de remarquables effets thérapeutiques​”.

Le Dr Janakiramaiah, M.D., Ph. D., D.P.H., chercheur médical et président du département de psychiatrie au National Institute of Mental Health and Neurosciences (N.I.M.H.A.N.S.) en Inde, a dirigé plusieurs de ces recherches. Il a conclu que le Sudarshan Kriya avait des « effets thérapeutiques remarquables » [3] et qu’il est « cliniquement praticable et efficace. Il a le potentiel de devenir un traitement de première ligne pour les patients souffrant de trouble dépressif persistant [dépression chronique et légère] et possiblement pour les formes légères et modérées du trouble dépressif majeur. » [1, 3]